Sonntag, 10. September 2017

Heute vor siebzehn Jahren war auch Sonntag gewesen


In Prousts Le temps retrouvé tauchten in Marcels Bericht mehrmals Erinnerungen auf, die im Kontext zu seiner Zeit mit Albertine standen. Er bemerkte dann stets, das mache ihm nichts mehr aus. Neben eine dieser Passagen – »Ainsi étais-je ému parce que la tache brune dans le ciel d’été n’était ni un moucheron, ni un oiseau, mais un aéroplane monté par des hommes qui veillaient sur Paris. Le souvenir des aéroplanes que j’avais vus avec Albertine dans notre dernière promenade, près de Versailles, n’entrait pour rien dans cette émotion, car le souvenir de cette promenade m’était devenu indifférent.« – hatte Hans Köberlin in seiner Ausgabe am Rand mit einem Bleistift angemerkt: »Er macht sich etwas vor!« Und wie zur Bestätigung las er auf der nächsten Seite (der Seite 71 seiner Ausgabe): »Ah! si Albertine avait vécu, qu’il eût été doux, les soirs où j’aurais dîné en ville, de lui donner rendez-vous dehors, sous les arcades. D’abord, je n’aurais rien vu, j’aurais eu l’émotion de croire qu’elle avait manqué au rendez-vous, quand tout à coup j’eusse vu se détacher du mur noir une de ses chères robes grises, ses yeux souriants qui m’auraient aperçu, et nous aurions pu nous promener enlacés sans que personne nous distinguât, nous dérangeât et rentrer ensuite à la maison. Hélas, j’étais seul …« – In Hans Köberlins Ausgabe der temps retrouvé konnte man neben anderen noch eine weitere sehr wichtige Anmerkung, sehr wichtig in seiner, Hans Köberlins, Vita oder sehr wichtig für seine Vita, finden, ebenfalls mit Bleistift, und zwar auf S. 507: »Sonntag, den 10. September 2000, 19Uhr26. Das Wort ›Temps‹ gelesen.«